Avril 2017
Château Lagrange 2016 – Michel Bettane
95 – 96 : Puissant, très sérieusement construit, encore un peu tendu…
Mai 2017
Château Lagrange 2016
18,5 – Fruits rouges intenses, ronce, Zan, cerise noire. Bouche fraîche, élégante, beaucoup de pep’s, tannins souples, belle matière, superbe allonge. Joli.
par Frédéric Durand-Bazin – Mai 2017
Novembre 2016
Château Lagrange 2015 – 17.5
« Particulièrement juteux, style racé, ronde et souple, mais aussi dense et d’une grande race avec de la longueur, un excellent rendu, très agréable. »
30 Mai 2016
94 points 17 / 20
Beau vin svelte. Excellent corps, arôme racé de cèdre, assez riche, mais avec une entrée de bouche plus tendre qu’on ne l’imaginait au vu du raisin, prendra parfaitement le bois.
Mai 2016
Lagrange 3e CC
Matthieu Bordes, directeur du cru
« On est passes très près d’un très grand millésime On a eu peur quand la pluie est arrivée que cela fissure les peaux comme en 2013, mais elles étaient épaisses et elles ont tenu. On n’est pas au niveau de 2009 et 2010, mais on est mieux que 2005, le vieillissement de la Vigne, notre capacité de trie nous offrent une prise de risques plus importante, On a la plus faible proportion de merlot (17%) de l’histoire du cru » 75% cabernet sauvignon, 17% merlot, 8% petit verdot, 13,2°,
16 – Nez fruits noirs, prune, mûre, bouche sur des saveurs assez mûres, un peu compotées, note épicée, dense, bonne longueur, jolis tanins de cabernet sauvignon en milieu de bouche, finale serrée et réglissée,
O = 2022 G = 20 ans
15 – Les Fiefs de Lagrange (second vin) 55 % cabernet sauvignon, 41 % merlot, 4% petit verdot
O = 2019 G =12 ans
14,5 – Arums de Lagrange (le blanc) 60% sauvignon, 20% sauvignon gris, 20% sémillon
O = 2017 G =10 ans
30 Mai 2016
Château Lagrange 2015 93 – 94 / 100
Rouge grenat aux reflets pourpres. Bouquet complexe marqué par la fraîcheur, le fruit et les épices. Notes de cerises et de cassis, suivies de réglisse et de cannelle. Attaque élégante, juteuse, légèrement suave et fruitée. Le corps est crémeux, équilibré et doté de tannins granuleux, en accord avec la structure. Il en résulte un vin puissant et fin. Touche épicée et minérale en fin de bouche. Un belle réussite. Bravo. 2022 – 2042
30 Mai 2016
17,5 / 20
Particulièrement juteux, style racé, ronde et souple, mais aussi dense et d’une grande race avec de la longueur, un excellent rendu, très agréable.
Décembre 2015
Ces notes de dégustation sont issues des dégustations dites « en primeurs » qui ont eu lieu fin mars, début avril 2015, le plus souvent à l’aveugle, mais pas toujours. Les raisins ont été récoltés à l’automne 2014, ils ont été vinifiés et les vins sont en début d’élevage et loin d’être mis en bouteilles. Elles ne sont qu’une indication totalement dépendante de l’échantillon présenté. Nous le redégusterons en bouteille en 2017, puis encore en 2018 pour un avis définitif.
Ch. Lagrange 2014 16,5/20
Un vin très élégant, discret, équilibré, il ne fait pas dans l’épate, mais très harmonieux, encore sur sa réserve. Il en a « sous le pied » comme on dit en langage populaire. 3-12 ans.
Décembre 2015
CHATEAU LAGRANGE 16.5-17/20
Avec le niveau de Cabernet le plus élevé depuis 1984, le 2014 possède une colonne vertébrale noble, bien enrobée, avec surtout beaucoup de longueur et une finale élégante. Une réussite. Prix 2013 : 32€
Prix 2012 : 33.5€
Mai 2013
Pour un premier millésime en tant que nouveau patron du cru, Matthieu Bordes n’a pas été gâté : « le jeudi 26 Septembre, ça commençait à pourrir. Les raisins blancs nous ont beaucoup aidés. Ils nous ont dit : attention le botrytis arrive. Et ça n’a pas raté. On avait le dimanche après-midi des fissures sur les raisins rouges, et, dès le lendemain, des traces blanches de botrytis. On s’est positionnés dès le lundi 30, on est allés au maximum de chacune des parcelles, à la limite de la rupture. S’il y avait de l’herbe et de l’argile, ça résistait ; c’est sur les meilleures parcelles de graves qu’on en avait le plus. Au départ, 80 vendangeurs, après il y avait trois entreprises, on est montés à 220 vendangeurs et on a rentré 15 hectares dans la journée le jeudi. Le pari était de suivre et de ne pas se laisser devancer par le botrytis. » Pendant ces journées difficiles, un jeune stagiaire de 23 ans, tout frais sorti de l’école, Benjamin Vimal, s’est fait remarquer grâce à son efficacité : « je suis originaire de Clermont-Ferrand, aucun rapport avec le vin. La passion m’est venue avec mon frère aîné. Il n’en a pas fait son métier, il est vétérinaire, mais il m’a passé son envie. Il achetait du vin et me faisait goûter. Dès qu’il reviendra il aura le droit à une visite complète. Je ne pensais pas le moins du monde qu’on m’embaucherait. Le poste de Directeur Technique était à pourvoir, j’ai demandé à Matthieu si ça servait à quelque chose que je postule… Le maître de chai, qui a 43 ans, et le chef de culture, qui est là depuis vingt-cinq-ans ont appuyé ma candidature, et voilà… » Château Lagrange 2013 (15,5/20) 75% de Cabernet Sauvignon, 21% Merlot, 4% Petit Verdot Fruits noirs, épices, bouche ronde, tendue, serrée en finale, prise de bois, joli fruit, bonne matière O = 2017 G = 10 ans Les Fiefs de Lagrange 2013 (14/20) 61% Cabernet Sauvignon, 30% Merlot, 9% Petit Verdot Grillé, bouche suave, pas très long mais du fruit, frais et gourmand. O = 2016 G = 5 ans Les Arums de Lagrange (15/20) 86% Sauvignon Gris et Blanc, 7% Sémillon, 7% Muscadelle Floral, ananas, pêche blanche, bouche gourmande, fraîche, ronde. O = 2015 G = 4 ans
avril 2017
Segunda etiqueta de Château Lagrange en edición de añada 2013, dominio vitivinícola bordelés acogido a la apelación Saint-Julien, marcado por una conjunción varietal con base mayoritaria de la casta cabernet sauvignon, algo más del sesenta por ciento, treinta porcentual de merlot y el resto dedicado a la siempre peculiar petit verdot.
La historia de la maison ha conocido diversos propietarios, desde el aristócrata Barón de Brane, allá por el siglo dieciocho, hasta John Lewis Brown, pasando por el Conde Duchatel, quien en el año 1842 dotó al viñedo de la bodega de un correcto sistema de drenaje, hasta ese momento inexistente. Es a partir de entonces cuando los vinos de Lagrange comienzan a escalar posiciones en la solemne oferta de vinos de Burdeos. Dos años antes, la propiedad se vio obligada a vender partes de su terreno, pasando de las doscientas ochenta hectáreas en origen a ciento cincuenta y siete.
Ya en el siglo veinte, se acometió otro traspaso de propiedad, del que resultaron beneficiados Château Ducru Beaucaillou y Château Gloria.En el año 1983 la propiedad es adquirida en su totalidad por la compañía japonesa Suntory, dejando la familia Cendoya, que la tenía en su patrimonio personal desde 1925, de ser su timonel.Las fuentes de inversión logran rescatar la bodega del ostracismo y bajo la efectiva dirección técnica de Marcel Ducasse, regresan los brillos al dominio, incluyendo en la operación la expansión del terreno, de cuarenta y ocho hectáreas se pasa a ciento treinta y ocho, aumentando la densidad en la cantidad de cepas. En 1985 se incorpora un segundo vino en la oferta de la bodega , y es entonces cuando nace este Les Fiefs de Lagrange, referencia que hoy ocupa el protagonismo de mi blog. Con una progresiva modernización de las instalaciones de elaboración, y ordenando las parcelas que en el presente se dividen en ciento dos espacios de campo diferenciados.
No obstante y en un perfil genérico son dos las laderas, asentadas en grava, que dan cuerpo al viñedo de Lagrange, ubicado en la zona oeste de Saint-Julien. Son probablemente las cepas localizadas a mayor altitud de cuantas cumplen su ciclo vegetativo en esa apelación bordelesa. Cantidad principal de plantas de cabernet sauvignon, con buen aporte de merlot y desde el año 1988 un seis por ciento de la casta petit verdot.Suelos que aportan composición de grava, arena y arcilla, incluyendo alguna parte del terreno que contiene proporciones férricas. Matthieu Bordes al frente de las labores ecológicas profesionales, y Keiichi Shiina como director general, apostando por la elegancia como virtud inquebrantable en los vinos que desde esta bodega se ofrecen a los consumidores.
En la maduración se utiliza un porcentaje de madera nueva de roble francés que oscila entre el veinticinco y el treinta por ciento, con poco más de veinte meses de duración.Copa parada afirma un cromatismo apicotado intenso con reflejos púrpura y grana, nariz en cuya proximidad recoge nostalgias compartidas de fruta roja y negra en sazón, guiños de confitura y arrope, algunos especiados dulces muy suaves y retazos de pétalos florales rojos, dejando en el centro de la fragancia resueltos puntos balsámicos y en el fondo evocaciones tostadas que se muestran en clave torrefacta. En la vía aromática y tras unos minutos iniciales de aireación, el equilibrio de la fruta y la madera es un hecho, dando mayores cotas de protagonismo a la primera de ellas.
Sabroso y fresco en el arranque en boca, buen despliegue de acidez como corresponde a los buenos vinos de Saint-Julien, untuosidad media que afina su expresión en el alcance del paladar, estupenda estructura.Taninos golosos y maduros, muy buena persistencia, dejando en la retronasal memorias de cerezas, ciruelas rojas y negras, kirsch, pétalos de rosas rojas, algún guiño de panadería y vainilla, marcando un eje de regaliz y un fondo en donde los tostados procedentes del roble francés incorporan su finura con testigos torrefactos suaves. Una de las mejores añadas y vinos más eficientes que he catado en lo que respecta a segundas referencias del Médoc. Alcance y expresión mantenida, lo califico en esta edición de vendimia 2013 como muy recomendable.
http://almavinocuatre.blogspot.fr/search?updated-max=2017-04-11T00:00:00-07:00&max-results=20&start=18&by-date=false
Mars 2015
Date de dégustation : 2015/02
Vin blanc
Note : 15.25 /20 – Millésime : 2013
Le nez offre une jolie complexité aromatique. Il révèle des notes de fleurs, d’agrumes et beaucoup plus légèrement de vanille et de boisé harmonieusement marié. La bouche est profonde, riche, relativement charnue, fraiche et révèle une bonne tension. En bouche on retrouve des notes de fruits blancs, d’agrumes et plus légèrement de coing, de fleurs et de papaye associées à une touche de beurre en fin de bouche. Jolie longueur en bouche.
Jonathan Choukroun Chicheportiche
Avril 2014
16,5–17/20 _ 91–92 pts
Riche couleur. Nez plein, précis, noblement expressif du Cabernet sur graves dans le registre cèdre et épices. Classicisme impeccable de style, les vignes du grand terroir ont désormais l’âge de l’exprimer dans toute sa dimension.
2016
Trois ans après avoir dégusté, en primeur, les grands crus classés du Médoc, retour sur ces mêmes crus embouteillés et assagis.
Château Lagrange – 17 (16.5/17)
Epices, réducteur, fruits noirs, bouche ample, droite, belle matière généreuse, beaucoup de fraîcheur, long.
Octobre 2014
2012 – 16/16.5
67% Cabernet Sauvignon, 30% Merlot, 3% Petit Verdot
Graphite, boisé, fruits rouges, bouche ronde, souple, onctueux, un vin suave, moelleux, velouté, belle matière, boisé peu présent.
Mars 2015
Les Arums de Lagrange 2012, Bordeaux blanc sec
Troisième grand cru classé en 1855 à St Julien, cette superbe propriété du groupe Suntory, dirigée par Matthieu Bordes, est une des références du Médoc. Mais à côté de son illustre vin rouge, le domaine produit un blanc sec qui mérite attention. Dominé par le sauvignon (86%), sans oublier une pointe de sémillon et une autre de muscadelle, cette cuvée à la robe cousue d’or se distingue par ses notes de citron, de pamplemousse et de fruits exotiques. Un vin blanc à rougir de plaisir.
Prix : 18.50e à la Vinothèque.
Mars 2015
Rating: 94/100
Dégustation :
« 2012 est le meilleur millésime après 2009 et 2010. Pour 36 euros, c’est une magnifique affaire !
Le nez présente des notes d’épices douces et de mûres. En bouche, les tannins sont surprenants par leur élégances. Le vin est structuré et dense avec des arômes de sous bois, de cassis et de réglisse. La finale est légèrement mentholée. Vous pouvez le boire maintenant après une ou deux heures de décantation mais il est surtout dessiné comme un vin de garde ! Idéal avec une viande rouge en sauce. »
Détails :
Château Lagrange est connu au Moyen-Age sous le nom de maison noble de Lagrange Monteil et l’on retrouve la trace des divers propriétaires depuis 1631.
Racheté à la famille Cendoya par le groupe de boisson japonais Suntory en 1983, le château Lagrange a depuis une trentaine d’années retrouvé le lustre qui était le sien et a reconquis son rang de « super troisième cru classé ».
Totalement situé sur l’appellation Saint-Julien, le vignoble de 157 hectares, d’un seul tenant, s’étend sur deux croupes de graves d’origine « Gunziennes » orientées Nord-Sud. Avec une altitude de 24 mètres, le centre du domaine est le point culminant de Saint-Julien.
Avril 2013
Pierre Guigui – 17/20
Un vin entre le charme d’une fine sucrosité et le croustillant du fruit. Il a de l’éclat et de la fraîcheur, sur un lit tendre qui s’étire vers le floral.
Avril 2013
16/20 – 90/100
Couleur sombre de bonne intensité. Joli nez fruité, mûr et floral. Belle entrée en bouche séveuse et fruitée puis le vin se développe ample et plein au milieu. Belle finale et savoureuse avec du goût et des tanins fins et parfumés. Longueur normale.
Avril 2013
Olivier Poels : 16-17/20
Sélection drastique, tri sévère, Lagrange a produit peu de grand vin en 2012, mais son niveau est très satisfaisant, avec de la définition et de la souplesse dans les tanins. Bel équilibre et finale rafraîchissante.
16 Mai 2013
Jacques Dupont – 14,5/20
Nez fruits rouges, bouche douce, ronde, bien fruitée, tanins souples, gourmand.
Prêt à boire en 2015
Garde : 6ans
Juin 2012
Le Châtaeu Lagrange 2011 récolte un 17/20 par Gault&Millau
Leur commentaire :
« Le nez est séducteur (rose, moka, ambre, myrtille juteuse). La bouche n’est pas puissante mais ajustée et racée dans un style élégant avec une trame vivante. La profondeur est bien présente en milieu de bouche. Un vin plus fin que puissant. »
Juin 2012
Bruno Eynard : « on est a 62% cabernet sauvignon, 32% merlot et 6% petit verdot. Les cabernet-sauvignon ont moins produit que les merlots. C’était des petits grains, et avec l’échaudage de juin, les cabernet-sauvignon ont grillé de façon impressionnante. On a rajouté le petit verdot.Quand on a vu la quantité de tanins qu’on allait extraire, on s’est dit qu’il ne fallait pas le faire trop fortement. Il fallait avoir une vignification adaptée au millésime, après une recherche de maturité très poussée car, ici, on est loin du fleuve et on a une semaine de décalage avec Las Cases. On a baissé les températures : 26°C au lieu des 28 et 29. On a été très modéré sur les extractions. On va essayer pour les cabernet-sauvignon de faire des remontages fractionnés, petites séquences aromatisées. En merlot, on ne travaille qu’en pigeage, j’ai un deuxième-ligne sud africain, 2 mètres et 110 kilos qui fait le pigeage »
« Fruits noirs, bouche ronde, juteuse, assez fraîche, de la rondeur, serré, tendu, tannins bien présents mais sans dureté, joli fruit, assez savoureux. Bonne longueur. »
Jacques Dupont
Avril 2012
BD TAST accorde 16,5 – 17/20 au Château Lagrange 2011 et inscrit :
« Finesse bien dégagée, au détriment peut-être de la richesse de texture, tanins harmonieux »
Avril 2012
Jean-Marc Quarin accorde une note de 16,5/20 au Château Lagrange et commente ainsi :
« Couleur sombre; Nez fin, fruité, pur et floral. Un des plus précis que je vois aussi. Entrée en bouche moëlleuse et précise, le vin se développe très savoureux, aromatique, finement gras et fin vers une longe finale tannique, mais enrobée. C’est très bon et un beau succès. »
Mai 2012
Olivier Poels a mis 16-16.25/20 au Château Lagrange 2011 et commente :
« Le cru a joué la carte de la délicatesse, ne cherchant pas à extraire trop de matière. Le résultat est convraincant avec un fruit préservé, des effuves de fruits rouges frais et des tannins présents mais intégrés. Quoi de neuf au château? Le cru demeure à l’affût des nouvelles solutions technologiques. Il fut l’un des premiers dans le Médoc à utiliser les machines de tri optique. Une technologie encore affinée pour la prochaine vendange avec la mise en service de machines dernière génération. Par ailleurs, le cru accueillera la Fête de la Fleur 2013. »
Avril 2011
Jean-Marc Quarin inscrit une note de 15-15,25/20
Voici son commentaire :
« Couleur sombre. Nez fruité. Bouche très fruitée, finement moelleuse avec un corps normal et une belle sapidité finale. Beau second vin. »
Mai 2011
Arums, le blanc, est composé de 60% sauvignon, 30% sémillon et 10% muscadelle.
15- Pêche blanche, bouche vive, tendue, élégante, joli fruit.
O = 2013 G = 5 ans
12 Mai 2011
Fiefs-de-Lagrange, le second vin, est assemblé, lui, à 60% cabernet-sauvignon, 31% merlot, 9% petit-verdot.
14.5/15- Nez fruits noirs, cerise, bouche vive, tendue, un peu serrée en finale, droit
O = 2014 G = 8 ans
Février 2011
La revue du vin de france accorde 17-18/20 au Château Lagrange 2010 et confirme sa note grâce au commentaire suivant :
« Au fil des ans, la proportion de cabernet-sauvignon augmente dans l’assemblage final de Lagrange, pour atteindre 75% en 2010. Un choix judicieux qui donne de la profondeur et de la complexité au cru. Une meilleure gestion des vinifications par parcelles lui a aussi permis de s’affiner. Le 2010 possède une belle énergie, une matière profonde et une densité contenue. »
Mai/Juin 2011 - 57
Château Lagrange 17-18
Généreux, bien arrondi, très bien vinifié, complexe, assez long, Lagrange intelligemment modernisé.
12 Mai 2011 - Page 4/8
CHATEAU LAGRANGE 3e CC
Bruno Eynard « c’était sec et frais, ce qui est déjà rare, car à Bordeaux on est frais et humide ou chaud et sec. J’ai continué mon travail de recherche de détails, même sur une grosse machine comme Lagrange on doit être dans le détail. On progresse sans arrêt dans ses erreurs plus que dans ses réussites, car dans le vin 2 et 2 ne font pas 4, mais c’est entre 3 et 5. On est passé à la vendange en cagettes, faut imaginer, sur 120 hectares. On a adopté le tri optique. On aura, pour les vendanges 2011, 91 cuves pour 100 parcelles. Certaines sont équipées pour faire du pigeage, pour vinifier différemment selon les cépages ». 75% cabernet-sauvignon et 25% merlot en assemblage. « Pas de petit-verdot encore cette année dans Lagrange, on n’arrive pas a leur trouver la bonne vinification. Je les garde comme assurance ». Lagrange titre à 13.5°.
16.5/17- Epices, fruits noirs, bouche douce, ronde, moelleuse, un peu serré en finale, dense, tannique, finale assez marquée, tendue un peu accrocheuse, bonne longueur. Future belle bouteille mais qui demandera du temps.
O = 2018 G = 20 ans
Fiefs-de-Lagrange, le second vin, est assemblé, lui, à 60% cabernet-sauvignon, 31% merlot, 9% petit-verdot.
14.5/15- Nez fruits noirs, cerise, bouche vive, tendue, un peu serrée en finale, droit
O = 2014 G = 8 ans
Arums, le blanc, est composé de 60% sauvignon, 30% sémillon et 10% muscadelle.
15- Pêche blanche, bouche vive, tendue, élégante, joli fruit.
O = 2013 G = 5 ans
Juin 2011
Château Lagrange-17/20
L’équilibre entre la tension, la richesse, la trame resserrée est superbe, avec des notes de fruits rouges et noirs et un côté mi-savoureux mi-ferme de plus bel effet.
Avril 2011
« Le moins que l’on puisse dire, c’est que ce vin n’est pas sous extrait ! Un reproche que je ferai à de nombreux 2010. Au contraire, Lagrange n’a pas hésité à prendre aux raisins beaucoup de matière. Il en résulte un vin au nez fin, au début de bouche pulpeux, au milieu très dense, à la finale tannique bien plus serrée que d’habitude, mais le fruit est mûr et le tannin enveloppé. C’est un pari qui trouvera la réponse en fin d’élevage. »
Janvier 2013
Olivier Poels – 14,5/20
Élaboré dans un style souple, avec une bouche en demi-puissance, mais une belle trame et de la finesse. On pourra le boire sur son fruit ou bien l’attendre quelques années.
Novembre 2015
Overall Rating : 91 points
Grape Varieties : Cabernet Sauvignon, Merlot, Petit Verdot
Lively and charmingly expressive Cabernet fruit. Rich, supple, juicy and sleek – concentrated with fleshy tannins and good weight of fruit. A classy example of claret with no hints of overripeness.
Price £37–£67 Widely available at leading Bordeaux merchants Drink 2015–2035
Alc 13.5%
Judges: Steven Brook, Alun Griffiths MW and Steven Spurrier
Mars 2014
2009 est-il inférieur, égal ou supérieur au millésime 2005 ?
Reste la question qui fait et fera débat encore pendant quelques décennies : 2009 est-il inférieur, égal ou supérieur au millésime 2005, dont nous avions écrit ici qu’il était peut-être le plus grand jamais réalisé à Bordeaux ? Voici ce que dit la faculté dans sa note déjà citée : « Alors, 2009 serait-il comme 2005 un millésime parfait ? Difficile de répondre aujourd’hui. Sur beaucoup de terroirs sûrement, mais probablement pas partout, pour deux raisons. D’une part, l’arrêt de croissance de la vigne avant la véraison fut moins franc et général qu’en 2005 ; d’autre part, dans certaines situations, la vigne a pu souffrir de la sécheresse en août au point que la maturation en soit affectée. » Une appréciation très technique et prudente.
Au risque de se tromper, on peut tenter une réponse plus engagée. Certains vins de 2009 devraient dépasser ceux de 2005 : plus d’exubérance, de douceur, de folie. « Il monte davantage dans les tours ! » dit Frédéric Engerer, pilote de Latour. Mais ces vins-là, qui auront capté le soleil sans rompre l’équilibre, ne seront pas la majorité. En termes de qualité générale de l’ensemble des vins, d’homogénéité, la vendange 2005 reste exceptionnelle. »
Évidemment, quand ces analyses et commentaires sont formulés (avril 2010), personne n’imagine que se profile à l’horizon des saisons la fabuleuse vendange 2010, qui va relancer le débat sur le plus grand des plus grands : 2009, 2005 ou 2010 ? Prochainement, nous publierons ici « Retour sur le millésime 2010 des grands crus classés du Médoc ». Afin d’élargir le débat…
* Les notes entre parenthèses ci-dessous, qui suivent celles correspondant à cette dégustation de janvier 2013, sont celles attribuées lors de nos dégustations « primeurs » en avril 2010.
17 – (17) Lagrange 2009 3e CC
73 % cabernet-sauvignon, 27 % merlot. Fermé, cerise, bouche tendre, soyeuse, bonne structure, note épicée, belle tenue, tanins de belle qualité, long, l’élevage est encore sensible. Élégant et structuré.
Mars 2014
2009 :
Issu d’un millésime exceptionnel, Lagrange 2009 est un beau vin souple et charmant avec un joli moelleux, une belle matière, du volume, les tannins sont fins, l’ensemble de belle longueur. Un grand vin construit avec 73% de Cabernet Sauvignon et 27% de Merlot qui est loin de développer tout son potentiel.
Mai 2010 - p83
17,5 /18,5
« Nous avons attendu les cabernet-sauvignon au maximum » explique l’équipe technique du château. cette démarche, combinée à une amélioration de la réception de vendange, de tri et d’outil de vinification, a payé dans le millésime. Lagrange 2009 est une boule de fruit parfaitement équilibrée par une acidité énergique. Il possède un moelleux très séduisant, mais sa grande force réside dans sa finale aux notes de framboises écrasées finement acidulées. Très belle longueur.
Par Jacques Dupont.
Que veut faire Bruno Eynard?
[….] « Ce qu’on essaie de faire? C’est gagner en élégance, avoir des choses un peu plus délicates, car on était assez carré ici. »
Réponse prudente. Gagner en élégance et sans doute en précision, en améliorant le cuvier, par exemple.
Bruno a installé des petites cuves qui permettent d’isolerun peu mieux les vins produits par chaque parcelle.
Osera-t-il s’attaquer aux 7 hectares de petit-verdot chers à Ducasse? Suspense…
Mais cette année, ils ne font pas partie de l’assemblage.
« On était tous partisans de mettre le petit-verdot dans Lagrange mais notre oenologue,Eric Boissenot, nous a dit: vous allez perdre de l’élégance. » Il a bon dos, Eric.
Bruno Eynard: « On a vendangé du 28 septembre au 16 octobre. Ce qui nous a inquités, c’est le décalage entre maturité alcoolique et maturité phénolique. On avait peur que l’alcool monte très haut avant que les tanins ne soient effectivement mûrs.
Préserver l’équilibre a été notre préocupation principale.
A l’arivée, on a 13.5°,ça reste médocain, d’autant que les pH sont à 3.65, on garde de la fraîcheur c’est la surprise du millésime. »
73% cabernet-sauvignon, 27% merlot.
17 – Fruits noirs, poivre, tabac, bouche souple, moelleuse, dense, serré, beaucoup de matière, mais c’est assez raffiné, frais, tannique mais élégant.
O 2016 G 25 ans
Mai 2010
Une autre belle suprise. Notes de prune, violette.
Entrée en bouche souple.
Il évolue vers une forme ronde, à la trame subtile, vive, et à la finale d’une grande élégance, fondante.
3***
Avril 2010
Grand nez anisé, très noble, très Saint-Julien, magnifique richesse de texture, tanin racé de cèdre et de truffe, équilibre parfait, grand vin.
18.5/20
Novembre 2011 - P 99
La bouche est suave, avec un bel équilibre et un très joli soyeux, sans pour autant manquer de fond. Une belle réussite.
17 Mars 2014
Dégusté en Mars 2014
Château Lagrange 2009 – 17/20
73 % cabernet-sauvignon, 27 % merlot.
Cerise, bouche tendre, soyeuse, bonne structure, note épicée, belle tenue, tanins de belle qualité, long, l’élevage est encore sensible. Élégant et structuré.
Octobre 2014
2008 – 16.5/17
72% Cabernet Sauvignon, 26% Merlot, 2% Petit Verdot
Fruits Noirs, épices, rose, chocolat à la cerise, bouche ronde, douce, juteux, frais, élégant, frais. Rappelle le 88, très fin et qui se révèle aujourd’hui.
Mars 2015
Date de dégustation : 2015/02
Cru classé – Vin rouge
Note : 17 /20 Millésime : 2008
Le nez est fruité, élégant et harmonieux. Il révèle des notes de fleurs, de fruits noirs, de myrtille et plus légèrement d’épices associées à un jolie boisé parfaitement marié ainsi qu’à une touche de champignon. La bouche est concentrée, riche, subtile, dense et offre une jolie matière soyeuse ainsi qu’une certaine gourmandise. En bouche on retrouve des notes de fruits noirs, de fruits rouges mûrs, de prune et de fraise écrasée associées à une touche de chocolat et une pointe de tabac. Les tannins sont élégants mais légèrement fermes. Bonne longueur en bouche. Joli potentiel de garde pour ce millésime !
Jonathan Choukroun Chicheportiche
Avril 2009
Couleur sombre, nez discret, bouche pulpeuse et bien construite, avec une entrée, un milieu et une finale. Tannicité savoureuse, fruitée, enveloppée. Bonne longueur.
Nouveauté: ce cru classé, le plus grand du Médoc, s’est équipé de petites cuves : huit à 120 hl et sept à 90 hl. Conclusion, des parcelles qui ne faisaient pas de Lagrange en font et d’autres n’en font plus. Cet outil plus fin révèle les parcelles les plus faibles.
16.25-16.5/20
Avril 2009
Avec une recherche de vendanges plus tardives pour gagner davantage de maturité et de finesse dans les extractions de tanins, Lagrange a produit un vin plein, dense et riche. L’échantillon présenté montrait encore beaucoup de fermeté dans les tanins, mais l’élevage devrait les adoucir. Prix du 2007 : 29€, Prix du 2006 : 42€
15.5-16.5/20
Avril 2009
Beaucoup de fraîcheur au nez avec une petite note de poivron rouge que certains n’apprécieront pas mais que je trouve fort agréable et naturelle dans un vin à forte proportion de cabernet sauvignon. Le corps est plein, l’impression d’ensemble est excellente avec sans doute un progrès en finesse et en pureté aromatique sur les 2005 et 2006. Le rapport qualité/prix sera excellent.
17/20
Mars 2015
Date de dégustation : 2015/02
Cru classé – Vin rouge
Note : 16.5 /20 Millésime : 2007
Le nez est élégant, complexe et légèrement plus austère que sur le millésime 2008. Il révèle des notes fruitées (fruits rouges) associées à quelques notes épicées. La bouche est soyeuse, équilibrée, dense, racée, serrée et gourmande. En bouche on retrouve des notes de fruits noirs mûrs (de mûre, de prune), de crème de cassis, de cerise et de framboise associées à quelques notes épicées, à une touche de chocolat, de réglisse ainsi qu’à un boisé bien intégré. Les tannins sont bien menés et fondus. Belle longueur et persistance en bouche.
Jonathan Choukroun Chicheportiche
15 Mai 2008
Le grand vin, Lagrange, comprend 68% de cabernet-sauvignon, 25% de merlot, 7% de petit-verdot; « C’est le deuxième millésime où l’on utilise autant de cabernet ».
16- Fruits noirs, épices, poivre, bouche tendue, vive, bien fruitée, élégante, fondue, jolis tanins très doux.
O= 2012 G=14 ans.
Mai 2008
Le but poursuivi par l’équipe du château pour élaborer ce 2007 était de produire un vin suave et gourmand, en respectant la matière du millésime. Les extractions ont donc été très modérées. Il en résulte un vin au profil classique, gourmand et dont le fruit est admirablement préservé. Doté d’une belle matière et d’un milieu de bouche bien construit, il séduit par ses tanins suaves et fondus. Le château a par ailleurs, de grande ambitions pour l’avenir, avec un grand programme de travaux qui devrait s’étaler sur plusieurs années, afin de se doter d’un outil de travail plus performant. A suivre.
Juillet 2009 - p24
Belle couleur sombre.
Nez fruité, frais, mûr, à l’aspect crémeux.
L’entrée en bouche est douce.
La corpulence est normale et l’ensemble bien équilibré.
Le vin est plus intéressant dans la dernière partie de la bouche que dans la première.
Son fruité y est plus éclatant.
On pourra attendre 2012-2013 et avant 2020.
Note: 15.5-15.75 /20
Sur les vingt dernières années, Lagrange est devenu l’un des châteaux les plus réguliers du Médoc, avec un vin structuré, mais racé et toujours très équilibré.
Le 2006 fait honneur au style du cru, avec un vin élégant et très bien construit.
Septembre 2007
A dominante florale et fruitée, ample, racé et frais, des tannins prononcés et vifs. Des notes poivrées, mais aussi une finale fruitée. Bon potentiel de garde. 2014 à 2022. 16, 50
Avril 2007
Jolie Puissance, mais encore un peu serré. On perçoit une très belle matière. Les tanins doivent s’assouplir. Il possède du potentiel. 15.5-16.5/20.
Octobre 2007
Klara Götzova, chef sommelière de l’importateur Merlot Grand Vins, nous a expliqué que le goût pour les vins français augmente.
Elle considère que le Médoc est le point de départ (…) Elle constate que l’achat en primeur du Château Lagrange 2006 pour 30 euros est un choix très prisé par ses clients.
Juillet 2007
Le vin a une belle couleur noire avec des reflets pourpres. Au nez, il exprime la finesse, sur une trame de fleurs rouges, violette, rose, et de petits fruits très mûrs : framboise, groseille et mûre. En bouche, l’attaque est souple, sur une matière soyeuse, ponctuée par des tannins fins et poivrés et une finale florale. 2006 est sur l’élégance à Lagrange.
A boire avant 2024/25. 17/20
Mai 2007
Profond, pourpre profond avec des reflets violet. Doux, bouquet prononcé, beaucoup de cassis et de mûre, notes de café. En bouche, une texture soyeuse et élégante, une grande complexité dans la structure des tannins. Lagrange montre combien le millésime dans l’appellation saint –Julien a été réussi.
Mai 2007
Un remarquable Lagrange une nouvelle fois, et qui joue sur un équilibre parfait entre acidité, tannins mûrs et alcool, beaucoup de fruit, d’onctuosité et de finesse, des notes myrtille et une finale vive qui prolonge le fruit en bouche. 17 – O=2016 G =25 ans
Un succès de l’année. Au-delà de sa très belle couleur sombre, le nez se différencie e ses pairs de par un aspect très frais, pur et très fruité. Bouche grasse, charmeuse mais aussi très complète. Le vin évolue très fondant avec du gras en deuxième partie de bouche et une belle allonge finale. Tanins présents mais savoureux et raffinés. Une réussite.
Goûté deux fois au même niveau.16, 50.
2009 - p386
Il faut passer par Lagrane en automne, quand se dégagent du parc et ses parterres de cyclamens une douceur et une sérénité peu communes.
Cette ambiance s’accorde parfaitement avec la touche toscane qu’apporte le campanile du château.
L’élégance des lieux se retrouve dans le vin.
La splendide robe sombre à reflets violets presque bleutés laisse entrevoir de grandes perspectives.
Celle-ci ne tardent pas à se confirmer dans un bouquet harmonieux, où de jolies notes confiturées (mûre)se fondent dans un bois bien intégré.
Ample et soyeux, le palais est de la même veine, comme la superbe finale épicée.
Un grand vinà ne pas ouvrir avant quatre ou cinq ans.(…)
2009
(…)Offrant une expression interessante du terroir, le second vin, Les Fiefs de Lagrange 2006 obtient une étoile.
Tout en étant accéssible plus jeune que son aîné, il est aussi de bonne garde.
Octobre 2014
2005 – 17.5/20
46% cabernet sauvignon, 45% merlot, 9% petit verdot.
Graphite, fruits rouges, cerise, fin, bouche longue, droite, longue, trop jeune mais long, complet et complèxe, charnu, juteux.
De très longue garde.
2008
Marcel Ducasse a modelé un vin très classiquement médocain, un peu rigoureux dans sa jeunesse mais séveux, distingué et d’une grande régularité ;
Le 2005 : grande puissance, définition très précise du terroir, impeccable finition, du travail de grand professionnel au service des Graves de Saint-Julien.
17,50/20
11 mai 2006 - Spécial Bordeaux
Résumé toujours succinct et pertinent de Marcel Ducasse: « C’est un millésime équilibré malgré sa forte concentration. La concentration, c’est la sécheresse, et l’équilibre, ce sont les nuits fraîches d’août et septembre. » Pendant les vendanges, Lagrange a enregistré quelques records historiques avec une cuve de petit-verdot à 14,9° et une autre de merlot à 15°. Par bonheur, l’assemblage final est moins chargé: 13,7° tout de même, et sans que jamais on puisse le ressentir à la dégustation. 46% cabernet-sauvignon, 45% merlot, 9% petit-verdot.
Réglisse et violette (comme souvent sur ce cru) au nez, bouche riche, tanins moelleux, une densité exceptionnelle ici, mais sans trahir la finesse. Un vin opulent, velouté, très long. Sans doute une très grande bouteille après élevage.
17/17,5
0=2012 G=20 ans
2008
Impeccable Lagrange, à la belle robe profonde, au bouquet racé de cèdre et de fruits rouge, à la bouche associant ampleur et longueur, dotée d’une structure tannique serrée et fine. L’ensemble allie brillance, allonge et réserve. 17/20
Ce vin est encore meilleur qu’avant sa mise en bouteille et cette note en fait le plus grand Lagrange jamais goûté. Coloré, aromatique, il offre une bouche royale avec du goût, de la puissance, et un milieu de bouche exceptionnel. Fondant bien que tannique, il s’achève très long et très aromatique. Comparé côte à côte au 2000, 2005 l’a dépassé. Attendre 2012 et avant 2040. Goûté en bouteille, 2005 a dépassé 2000. 17/20
Octobre 2008
Puissance remarquable, combinée à un très bel équilibre libre. Richement fruité et juteux en bouche, il domine le bois et semble parti pour une très longue vie.
Il dépassera même les remarquables 1990 et 1996.
18/20
170
Olivier Poels – 17/20
La réussite se confirme. Le vin est à la fois raffiné et dense. Nous sommes sous le charme d’un fruité acidulé délicieux qui lui confère beaucoup de fraîcheur et de longueur.
8 & 9 Mars 2008
Un Saint-Julien: Les Fiefs de Lagrange 2004
Ce second vin de Château Lagrange, plus simple et plus abordable dans tous les sens du terme, n’en bénéficie pas moins de l’excellence des soins prodigués à l’élaboration du grand cru. Prêt à déguster plus jeune, il représente avec plus de spontanéité les caractéristiques du domaine: le Château Lagrange est l’un des plus vastes du Médoc, ce qui lui permet une sélection daconienne de ces cuvées. De cépages cabernet sauvignon, merlot et petit verdot, Les Fiefs de Lagrange (son second vin) représente tout l’art d’un Saint-Julien dans un style gras, soyeux et particulièrement profond. Il est l’expression d’un terroir d’une qualité exceptionnelle, exalté par un élevageen fût de chêne à forte proportion de fûts neufs, révélant des arômes de fruits des bois et d’épices. Il est doté d’une belle robe profonde qui le rendopulent et charmeur. La bouche ample et fraîche garde une belle expression de fruits rouges tandis que les tanins fins et élégants assurent un équilibre parfait. Un vin délicieux, dont on peut se délecter à chaque instant. Un incontournable pour une bonne table à découvrir chez Sodival.
13 & 14 octobre 2007
Ce second vin de Château Lagrange, plus simple et plus abordable dans tous les sens du terme, n’en bénéficie pas moins de l’excellence des soins prodigués à l’élaboration du grand cru. Prêt à déguster plus jeune, il présente avec plus de spontanéité les caractéristiques saillantes du domaine : Le Château Lagrange est l’un des plus vastes du Médoc, ce qui lui permet une sélection draconienne de ces cuvées. Les Fiefs de Lagrange (son second vin) représente tout l’art d’un Saint-Julien dans un style gras, soyeux et particulièrement profond.
L’expression d’un terroir d’une qualité exceptionnelle, exalté par un élevage en fûts de chêne à forte proportion de fûts neufs, révélant des arômes de fruits des bois et d’épices.
Doté d’une belle robe profonde, les Fiefs de Lagrange 2004 est opulent et charmeur.
La bouche ample et fraîche garde une belle expression de fruits rouge tandis que les tanins fins et élégants assurent un équilibre parfait.
Un vin délicieux, dont on peut se délecter à chaque instant. Un incontournable pour une bonne table.
Nez très diversifié, anis, réglisse, menthe, épices, etc. Superbe étoffe, boisé intégré, charmeur et crémeux. 16,50/20
Avec son Château XVIIIème siècle et son vignoble de prêt de 160 ha d’un seul tenant, Lagrange est l’un des fleurons de l’appellation. Ce 2004 se montre à la hauteur de sa réputation. Sa forte personnalité s’exprime dans son bouquet de baies rouges, de vanille, de cannelle et de toast, puis par l’ampleur de son palais charnu, gras et élégant. Ses tannins soyeux et sa longue finale suggèrent un bon potentiel de garde. Il faudra aussi attendre trois ou quatre ans avant d’apprécier le second vin. Les Fief e Lagrange 2004 (11 à 15 €), qui décroche une étoile
Juin/Juillet 2007
Une dégustation verticale, depuis le millésime du renouveau en 1983, montre la régularité de Lagrange avec un style vers un style assez droit, d’une facture classique. Le 2004 possède un caractère franc, fin et élégant.
3 Mai 2005
Robe grenat foncé avec des reflets rouge lila. Un bouquet très fin et délicat, avec encore… mais de la finesse. Séveux, bele longueur en bouche, des tannins bien fondus, gourmand et gras, une finale rehaussée d’arômes de baie de museau. Un potentiel de garde intéressant. 17/20
Novembre 2007
Ici, une touche de classe. Un assez grand vin qui mérite la conservation. Très pur, un Cabernet clairement défini qui devra être gardé. Un style élégant. « Je l’apprécie » 5-12 ans+ (SP) Bot, Mls
28 avril 2005 - N° 3 et 4
Robe bleutée, nez framboisé d’une rare franchise dans sa fraîcheur et sa précision, vin remarquablement constitué, puissant mais élégant, avec une texture plus raffinée que dans les derniers millésimes, vraiment l’archétype du beau Saint-Julien. Vin à suivre de près. 17/20
19 Avril 2005
Très belle couleur vive, sombre, bordeaux et intense. Le nez est très fruité, frais, floral, mûr et pur. La bouche possède une très belle matière grasse, dès l’attaque. Le vin est très étoffé après le milieu de bouche et sans dilution dans sa corpulence. Au contraire, il possède un beau relief. Finale longue, séveuse, puissante, s’achevant sur des tanins de cabernet sauvignon mûr et des notes florales. Voici une très belle construction et un travail millimétré; il pourrait appartenir à la lignée des meilleurs Lagrange, tels que les 96 et 90. L’élevage dira la suite, puisque M. Ducasse précise : « Plus l’élevage avance, plus les tanins s’assouplissent ». 16,25-16,50
22 Avril 2005
La robe dense comporte des reflets violets. Moyennement intense, le nez se montre assez fin, tout comme la bouche élégante et de demi-corps. Ample, équilibré, sur des tanins modérés, le vin réserve une jolie finale sur la mûre. 8
Printemps 2008
La grande dégustation.
Belle robe grenataux reflets violines. Le nez d’une bonne intensité, est marqué par de délicats arômes boisés comme le beurre noisette ou la vanille bourbon. L’attaque est ample et suave. Les tanins, fins et subtils, se resserrent sur la finale légèrement acidulée. Vin d’un bel équilibre, typé du millésime. (Côtelettes d’agneau grillées, croustillant d’aillets et jus de vin réduit)
juin/juillet 2005
Robe grenat sombre. Nez de cassis et de pivoine. Bouche légère et persistante, les tanins sont bien fondus et la finale joue la franchise, le tout étant bien équilibré. 88
4 Avril 2005
Une robe rouge brillant et séduisant, des arômes de prunes et de baies avec des notes de bois grillé et de tabac. Une structure bonne, un milieu de bouche au fruit bien présent et des tannins soyeux. Subtil pour le millésime. 89-91
Avril 2005
Une robe rouge brillant et séduisant, des arômes de prunes et de baies avec des notes de bois grillé et de tabac. Une structure bonne, un milieu de bouche au fruit bien présent et des tannins soyeux. Subtil pour le millésime. 89-91
Octobre 2008
Serré au nez, mais bien plus équilibré et harmonieux que le 2003.
Doté d’une belle matière et d’un boisé noble, ce vin classique semble promis à un bel avenir.
Vu son prix, une excellente affaire.
15/20
Novembre - Décembre 2013 - 110
Dégusté à l’aveugle par Olivier Poels en 2013
16/20
Ce vin séduisant et bien fondu est un beau classique pour l’appellation. La bouche est d’un juste équilibre, avec un côté savoureux et gourmand. Très digeste.
Septembre 2006
Construit autour de ses tannins, ce vin révèle la rondeur typique de Saint-Julien, des arômes de prunes, dû vraisemblablement à la présence de Petit verdot (10% dans l’assemblage). Des tannins aux notes minérales, de grès fondu au bois neuf. Son côté terreux devrait s’estomper au profit d’arômes plus fruités avec le temps. 90
Mars 2006
Un nez fabuleux de fruits noirs, de terre et des notes de chocolat provenant de la barrique. Très fondus. Le palais est vraiment riche et très fruité. Des fruits noirs sur une finale délicieuse. Puissant et très typé Saint –Julien pour moi. Superbe.
Juin/Juillet 2004
Bel équilibre et une grande class émanent de ce vin pourtant très suave et riche. 89- 91
Belle couleur, beau nez frais, mûr, pur et fin. L’entrée en bouche est assez grasse, suivie d’une belle ampleur. Ensuite le vin évolue sur des tannins gras et une longue finale, très prometteuse pour l’élevage. 16, 25 -16,50
Juin 2004
Enrobé d’un boisé et d’un fruité plus fins et flatteurs que la moyenne des Saint –Julien. Il se déroule avec une race et une droiture soulignées d’une délicatesse de tannins qui caractérise désormais ce cru ; il pourra s’apprécier relativement jeun. 17/20
Juin, Juillet 2004
Très complexe au nez, avec des notes florales/ poivré et des touches de paprika. Bouche ample, suave, intense avec une belle finale dans laquelle on retrouve les arômes au nez. Très séduisant
Avril 2004
De jolis arômes de prunes, de violettes, de baies et de réglisse. Du corps avec des tannins bien fondus et une longueur en bouche. Très charmeur de toute évidence. Une belle élaboration pour ce vin doté de caractère. 92/94
Avril 2005
Robe rubis pourpre profond, un nez légèrement charbon de bois fumé mêlé de cassis, cerise, et de bois neuf grillé, le Lagrange 2003 marque le palais d’une belle ampleur, de quelques notes de goudron, de glycérine. La finale offre un aperçu de la chaleur étouffante de l’été 2003 à travers ses arômes chaleureux et sa présence en alcool. Ce vin relativement riche et concentré montre peu d’acidité, contrairement à la plupart des Lagrange récents. Il pourra s’apprécier plusieurs mois après la mise en bouteilles.90-93
Avril 2006
Structure soyeuse, ample, frais, succulent, ce Lagrange est plus aisé à déguster que la plupart des crus du Nord Médoc. Des arômes de cassis chocolaté, de cerise, ainsi que des notes joliment fondues de bois neuf, ce vin sensuel devra s’apprécier dans els 2, 3 ans, au plus tard dans 15/18 ans. 91
Juin-Juillet 2004 - p84
« Un bel équilibre et une grande élégance émanent de ce vin pourtant très suave et riche. »
Avril
Un vin élégrant, sans lourdeur ni note trop confites. La bouche est nette et le fruit gourmand.
16,5/20
Décembre 2006
Robe brillante, élevage soigné, bouche élégante mais manquant d’un peu de gras. Ce second vin de château Lagrange (3ème Grand cru classé du Médoc) est composé des plus jeunes vignes (entre 20 et 25 ans) du domine composé des deux tiers de cabernet sauvignon.
7/13 Septembre 2003
Un formidable domaine, toujours impeccable et à prix humain. Complexe et séveux, le 2002 laisse augurer d’un bel avenir, le 2003, plus opulent, reste dans la même veine
Avril 2003
Une grande réussite sans faiblesse en milieu de bouche. Non seulement le vin est aromatique, mais en plus il offre du corps et des tanins les plus veloutés jamais goûtés au même âge. Il obtient ma meilleure note donnée en primeur, à égalité avec 96 et 2000. 16,75 (vins excellents 16,5-18/90-95)
Vendredi 16 Mai 2003
Une fois n’est pas coutume, Marcel Ducasse est presque enthousiaste : « on a fait 44 hectolitres par hectare et on avait beaucoup de bonnes cuves. En 2002, on a eu du mal à décider ce qu’on allait mettre dans le second vin. »
De fait les Fiefs de Lagrange constitue un petit frère assez proche du grand, musclé et très en fruit. « Bien sûr, les cabernets sont très bien, mais on n’avait pas de mauvais merlots ici. Ils sont très convenables, y compris sur le plan aromatique. il y a toujours besoin de passer dans les vignes pour nettoyer, même à l’intérieur d’un même pied. Cette année, du 22 au 31 juillet, on l’a plus fait pour harmoniser que pour réduire la récolte ; cette année, les degrés moyens naturels à la récolte sont exceptionnellement forts. » 54% cabernet sauvignon, 33% merlot et une très forte participation des petits verdots : 13%.
: Joli nez bien fruité, mûre, fraise des bois, tanins opulents en bouche, beaucoup de matière, une certaine fermeté. Dans un style à la fois fruité et sérieux, un beau vin de garde.
O=2008 G= 15 ans. 16,5
25 Avril 2003
Robe profonde, beau fruit mûr au nez, bouche droite, tanins très fins sans rudesse, touche fraîche de poivron et longueur suave, font incontestablement de Lagrange un vin de garde. 8/8,5.(Grande réussite)
Octobre 2008
Un peu moins droit et intense que le 2001 il séduit par son côté savoureux et la générosité de son fruit.
Là aussi, l’élevage n’est pas encore fondu et le vin a besoin d’un ou deux ans pour trouver son équilibre.
16/20
Octobre 2008
Même s’il se referme actuellement, le 2001 a un potentiel évident.
Marqué par des notes de moka et de torréfaction le nez affiche une grande précision et de la droiture.
Long et équilibré, il faut lui lasser le temps de se mettre en place.
16.5/20
Octobre 2008
Impressionnant de profondeur et de complexité, c’est le plus complet de tous, avec ses arômes puissants de crème de cassis, de bois précieux et de cuir noble.
Cette grande bouteille énergique semble encore très peu évoluée.
La qualité exceptionnelle de ses tanins lui garantit une longue et prometteuse évolution.
17.5/20
Octobre 2008
Evoquant le 1990, le 1998 est une grande réussite.
Droit, séveux et équilibré, il exhalte de belles notes de moka et de fruits rouges, et possède une grande définition de bouche, avec une finale élancée.
Très séduisant, il peut être gardé au moins dix ans.
Octobre 2008
Très différent du précédent.
Légèrement réduit au nez à l’ouverture il gagne en complexité à l’aération et mêle alors des arômes de fruits, d’eucalyptus, de réglisse et d’épices.
Bouche très tendue et fraîche d’une classe énorme, avec l’éclat des grands millésimes en finale.
Déjà remarquable, il est parti pour une longue vie.
17/20
Octobre 2008
L’élevage ne semble pas tout à fait digéré et le nez est marqué par des arômes de torréfaction, moka, olives noires et fruits.
Matière élégante, avec un fruit tendre et des tanins suaves.
Vin séducteur et gourmand.
15/20
Octobre 2008
Une petite touche végétale au nez trahit les conditions difficiles de ce millésime touché par le gel dévastateur.
Toutefois le vin se tient bien, avec un joli moelleux de bouche et une bonne rectitude.
Il ne semble pas usé.
A boire.
15/20
Octobre 2008
Synthèse des deux précédentes, nez ultra séduisant de fruits, fleurs, épices douces et cèdre avec une précision aromatique remarquable. La bouche possède une matière d’un équilibre remarquable et d’une plénitude totale.
Ample et long il termine sur des tanins très veloutés.
Il semble capable d’évoluer encore sur plusieurs années.
17/20
Octobre 2008
Exubérant et très flatteur, nez intense de moka et de fruits rouges compotés.
Gras, riche, avec beaucoup de chair, mais aussi un côté chaud qui brouille un peu la finale.
Il semble, en ce sens, moins précis que le 1988.
16/20
Octobre 2008
Très droit, dans l’esprit du millésime, il séduit par sa rectitude et la précision de sa bouche à l’inverse du 1986, ne souffre pas de l’austérité des tanins.
Notes de fruits noirs cuir et ronces, un superbe médoc classique, au sens noble du terme.
16.5/20
octobre 2008
Ce qu’ils disent du millésime 1985.
Commentaire de Marcel Ducasse, directeur général, sur Château Lagrange (Saint-Julien).
C’est le premier millésime conduit sous la direcction de Marcel Ducasse, directeur général du château de 1984 à 2007 après son rachat en 1984 par le japonais Suntory. Ce millésime fut vinifié dans les nouvelles installations techniques du château et marque ainsi le renouveau de la propriété qui retrouve son rang de cru classé…
« Bien que 1985 se présente comme un millésime charmeur, il est avant tout un millésime de garde.
Avec ses 23 d’âge, il est encore frais et expressif. Un fort pourcentage de merlot (43%) lui confère une structure de tanins souples et bien fondus.
Avec ses arômes de sous-bois, de cuir, de fruits confiturés, de cacao et de cèdre, ce vin est des plus plaisants.
A table, il accompagnera parfaitement viandes rôties ou grillées. »